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Je m’appelle Juliette D’ERAMO je suis artiste maquilleuse et entrepreneur. J’ai créé Di San Rocco, une marque de cosmétiques et accessoires pour les professionnels du maquillage. Être maquilleur est un métier où il est nécessaire d’avoir beaucoup de matériel et produits consommables polluants.
Pour des raisons d’hygiène, ils sont souvent à usage unique, ce qui est très polluant. La marque fait très attention à son empreinte carbone et son empreinte écologique, c’est pour cela que Di San Rocco propose du matériel fabriqué à partir de matière de seconde main et des produits consommables recyclés français.
Tous les accessoires sont faits à la main avec des pièces de seconde main à Nancy. Les produits cosmétiques sont faits en France et plus particulièrement dans la région Grand Est et testés dermatologiquement en France. Di San Rocco est très soutenue par la région Grand Est et par la ville de Nancy.
Di San Rocco a bénéficié de l’aide “Ma ville, mon projet”. Di San Rocco s’inspire du mouvement artistique Rococo, mouvement artistique né en France en 1720. Di San Rocco tire son nom de Saint Roch de Montpellier, un pèlerin devenu saint-patron, entre autres, de la dermatologie. Il est représenté par des coquilles Saint-Jacques cousues sur ses habits, un chien à ses pieds et sa toge relevée pour montrer son genou.
En Italie, le Rococo est encore très présent. Je suis personnellement très liée à 3 différentes villes italiennes ; Tornareccio, là d’où viennent mes ancêtres, Atessa, là où vit mon grand-père et Orta San Giulio, là où nous avons déposé nos valises. Ces trois villes ont le nom d’un même monument, “la chiesa San Rocco”, l’église de Saint Roch. En effet, l’Italie est un pays très croyant en la religion catholique. Le nom de Di San Rocco découle de ces trois églises, au nom du saint-patron français
“Issues du recyclage, les créations de Juliette D’Eramo, jeune entrepreneuse de 21 ans sous la marque Di San Rocco, couvrent le champ des accessoires de maquillage et de modes. Jusqu’à sa dernière trouvaille : un chouchou camouflant dans les cheveux une petite astuce anti-drogue du viol.”
“Juliette D’Eramo, une entrepreneuse de Nancy, en Meurthe-et-Moselle, vend depuis quelques semaines des chouchous dans lesquels des cache-verre sont dissimulés. Des accessoires qui permettent d’empêcher qu’on verse de la drogue dans son verre. La jeune femme de 21 ans, qui travaille à partir de tissus de seconde main, vend ses créations sur un site en ligne.”